DESEO (Théâtre)

 

DESEO (Théâtre)


En un mot : une pièce humaniste ! (Michel H)


D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, Vol. 25-05 : www.societascriticus.com


MISE EN SCÈNE : XIMENA FERRER

PRODUCTION : SINGULIER PLURIEL

DU 2 AU 30 SEPTEMBRE 2023


Singulier Pluriel offre à son public une expérience théâtrale intime et innovante. Les portes de la Maison de la rue Fullum s’ouvrent de nouveau cet automne pour présenter DESEO, une mise en scène de Ximena Ferrer. 5 femmes, 4 histoires et 45 spectateurs-rices.


Bande-annonce :

https://www.youtube.com/watch?v=3QWSaqhscH0



La fiction s’installe entre les murs de la Maison pour la transformer en ancien bordel abandonné, converti en refuge pour cinq femmes prisonnières de leurs désirs.


Cinq femmes d’origines diverses et de différentes générations sont sans le vouloir des amantes errantes, prisonnières d’un ancien bordel qui les protègent du chaos et du désespoir du dehors. Un bordel, un refuge nommé DESEO!


Quatre histoires de 15 minutes, chacune d’elles nous immerge dans un univers distinct, qui se rejoignent dans une même trame narrative ancrée dans la chair, la passion, l’amour, l’éros, le DESEO.


La Maison peut accueillir un maximum de 45 personnes par représentation. Le public sera divisé par petits groupes et guidé dans les pièces de la Maison, un déambulatoire d’une durée totale d’une heure.


Avec Alexandrine Agostini, Stéphanie B. Dumont, Catalina Pop, Josée Rivard, Jacqueline Van De Geer


Mise en scène de Ximena Ferrer; Assistance à la mise en scène : Lesly Velazquez


Textes : Jimena Marquez et Marianella Morena (Uruguay), Camila Forteza et Julie Vincent (Québec)

Traduction : Ximena Ferrer

Scénographie : éclairages, accessoires Catherine Le Gall, Rodolphe St-Arneault



Costumes : Sahdia Cayemithe

Designer graphique : Maria Noël Ferrer

Direction de production : Margarita Herrera Dominguez

Accueil et billetterie : Michel LeveSque

Production Singulier Pluriel


XIMENA FERRER : Actrice originaire de l’Uruguay habitant Montréal, Ximena Ferrer est diplômée de l’école de Théâtre El Galpón (Montevideo, Uruguay). Elle a joué divers rôles dans des œuvres classiques au Théâtre El Galpón et dans des pièces expérimentales sur la scène indépendante uruguayenne. Profitant au maximum de l’effervescence de Buenos Aires, de la capitale latino-américaine du théâtre, elle s’est perfectionnée avec des metteurs en scène de renom tels que Ricardo Bartis, Juan Carlos Genet et Alejandro Catalan. Depuis son arrivée à Montréal en 2013, Ximena a travaillé comme actrice dans des pièces telles que Albertine en cinq temps lors du Festival International du Théâtre Mexicain de Montréal, tout comme avec les compagnies Ondinnok, Motus Théâtre et Parminou. Depuis 2017, elle codirige avec Julie Vincent la compagnie Singulier Pluriel en plus d’y avoir joué comme actrice dans quatre de ces créations ainsi que deux balados théâtraux. Ximena s’est notamment distinguée avec la pièce « La Mondiola », ayant entrepris le projet de créer l’œuvre dans une Maison. Elle prépare en ce moment un rôle pour une pièce qui sera présentée à l’automne 2023.



SINGULIER PLURIEL : Enracinée à Montréal, Singulier Pluriel s’est donné pour mandat de créer des œuvres contemporaines inspirées du nouvel univers global dans lequel nous vivons, et de faire de sa pratique un véritable laboratoire de recherche interculturelle. Le travail de la compagnie s’inscrit géographiquement et culturellement dans l’axe Nord-Sud. Si notre lieu identitaire est Montréal, dans notre travail cette ville en cache toujours une autre : Buenos Aires, São Paolo, Montevideo, Matanza, Córdoba...



À SURVEILLER :La prochaine production de Singulier Pluriel, La Chair de Julia, un solo de Julie Vincent présenté les 12-13 et 14 octobre 2023, dans le cadre du Festival Phénomena. Les billets seront en vente dès septembre sur le site du Festival.



DESEO. DU 2 AU 30 SEPTEMBRE 2023. Représentations les lundis et samedis à 19h et les dimanches à 16h À la Maison de la rue Fullum | Au 1955 rue Fullum, Montréal Billets: https://lepointdevente.com/billets/deseo

https://www.singuliernordsudpluriel.com/projects-6




Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2023-09-06)


En un mot : une pièce humaniste !

1. Ce que nous dit ce théâtre libre


Dans les documents reçus autour de cette pièce, on parle de théâtre ouvert. Mais, quand je mets abierto dans le Reveso il me donne aussi le sens de libre, ce qui m’apparait plus juste vu que ce type de théâtre est apparu au milieu des années 1970, pendant la dictature de Jorge Rafael Videla (1) d’abord pour se donner le droit d’être joué et, ensuite, celui de contester la dictature et de revendiquer plus de liberté. C’est donc un choix éditorial que j’assume ici, car la critique et l’opposition n’étant plus possible par les voies officielles et au grand jour, pour être libre, ce théâtre de résistance devait se faire sous le couvert d’un certain anonymat, comme dans des résidences privées par exemple, d’où ma traduction personnelle de Teatro abierto par théâtre libre. (2)


Quand, je lis dans La Presse, au sujet de Martine, une professeur non binaire qui désire se faire appeler Mx (dire mix) au lieu du traditionnel monsieur ou madame, que le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, « a rediffusé la lettre de la directrice d’école sur sa page Facebook sans prendre la peine de masquer le nom de famille de l’enseignante » (3), je me dis que ces gens qui criaient « libarté » (4) contre le vaccin contre la COVID-19 ont la notion de liberté un peu courte s’ils jettent ainsi en pâture ceux avec qui ils ne sont pas d’accord.


Face à cette montée d’une droite de plus en plus intransigeante aux États-Unis, au Canada et au Québec, cette curiosité d’une pièce jouée dans une maison à Montréal, sur le modèle du « Teatro abierto », restera-t-elle une curiosité bien longtemps? En effet, la question se pose : devra-t-on un jour faire les choses en cachettes pour éviter l’opprobre des extrêmes (5) qui se croient porteurs des bonnes valeurs et qui menacent ce qui n’entre pas dans leur conception du monde?


Pensons seulement à ces manifestations contre les drag queens qui racontent des histoires aux enfants dans les écoles, les bibliothèques ou les parcs au point qu’il faut maintenant tenir le lieu de ces activités quasi secrètes jusqu’au temps de la représentation pour éviter des scènes disgracieuses comme on en a vu cet été. Je tiens donc à rappeler à cette droite ce qu’est la liberté contrairement à la « libarté » :


« La moralité libérale comporte un tel engagement envers le respect de la divergence des conceptions religieuses, philosophiques, et métaphysiques, conceptions qui, de pair avec les principes et valeurs politiques, donnent un sens à la vie des individus. Seul un tel engagement peut fonder la valeur morale du pluralisme. En effet, toute défense du pluralisme et du désaccord raisonnable implique minimalement de défendre l'idée que l'adhésion aux valeurs morales passe nécessairement par l'intériorité individuelle, et que la coercition est inutile en ce domaine. Toute minimale qu'elle soit, cette exigence implique une contrainte épistémique relativement forte : le respect du pluralisme et du désaccord raisonnable exige que les doctrines dites « raisonnables » soient conciliables avec le pluralisme, c’est-à-dire que les tenants de ces doctrines doivent accepter qu’il est raisonnable pour les autres de nier la véracité de leurs convictions. En retour, cette exigence n’a de sens que si elle provient d’un engagement à l’endroit de la croyance en l’égale liberté de conscience. » (6)


Bref, avant même de voir cette pièce, on en saisit toute l’importance comme une mise en garde face à la montée des extrêmes pour notre liberté, ce concept malheureusement mal compris, ce qui en permet une manipulation que trop facile par les groupes idéologiques les plus extrémistes.


2. La pièce en 4 actes


Il faut d’abord dire que cette pièce se passant dans une maison privée, on ne pouvait être tous dans la même pièce en même temps. On avait donc trois groupes avec trois itinéraires différents.


Mais, d’abord, il y avait un point central dans un salon au centre de la maison, où nous nous retrouvions tous avant de passer à une autre pièce de la maison où se déroule une autre histoire. C’était toujours pour une courte période (environ 5 minutes) que nous nous retrouvons à trois occasions dans ce salon central.


Ensuite, il y a trois pièces où se déroulent des histoires différentes, soit :


1. Une chambre;

2. Un genre de boudoir dans un salon double;

3. La terrasse arrière, où est installé un abri.


Moi, j’étais dans le groupe 3/1/2, alors tel sera l’ordre de ma présentation.




3. La terrasse arrière



On est face à une jeune fille qui nous explique sa jeunesse. Les chicanes de ses parents, sa grand-mère qui tuait et faisait cuire le lapin. Elle m’a perdue un peu, car il y avait trop de détails sur la préparation et la cuisson du lapin pour moi qui en ait un à la maison – ici Diderot qui regarde l’œuvre de Cioran !



Le choix de cette photo de mon lapin n’est cependant pas un hasard, car, comme pour les écrits de Cioran, le récit de cette femme est plutôt sombre alors qu’elle est plutôt d’une personnalité joyeuse. (7) De quelle façon nous raconte-t-elle sa vie, dont le décès de sa mère par exemple.



Autre question qui la hante : Est-ce que les gens regardent de la porno? Car, elle ne connait personne qui en regarde. Pourtant, c’est une industrie qui rapporte gros. Cette question – qui est d’ailleurs d’actualité – la travaille. Elle nous l’a posé. Personne n’a répondu qu’il en regardait.


Personnellement, j’ai eu le gout de répondre, mais j’ai conservé ma réflexion pour mon texte. En couvrant différents films, oui, j’en ai vu. Et, j’ai même vu des documentaires sur le sujet. Le plus mémorable : Anthologie du plaisir (8), vu entre 1976 et 1979 au Cinéma Outremont. Un documentaire sur l’histoire du porno. Mémorable de voir tous ces étudiants prenant des notes, car plusieurs étudiants ayant des cours de cinéma fréquentaient l’Outremont à l’époque. Pour ma part, j’avais un cours de cinéma (en option) avec Gilles Blain (9) au Collège Marie-Victorin, raison pour laquelle j’étais allé voir ce film. Quand on s’intéresse au cinéma…


J’ai aussi pensé à Catherine Breillant (10) quand elle a posé cette question. Avec Anatomie de l'enfer, on est d’ailleurs dans un film porno sans le son et avec un film de philosophie avec le son, car la différence entre l’érotisme et le porno n’est souvent qu’une façon de traiter le sujet et du niveau des dialogues. L’érotisme est en quelque sorte le porno de l’intellectuel ! Alors, écoutez-vous du porno sans le savoir? Voilà la question qui devrait être posée à un public de théâtrophile.


Au Salon


Nous y venons 3 fois. Une dame d’un certain âge se plaint de voir que son mari l’a quitté pour une autre, plus jeune. Le désespoir, on le ressent et on aurait le gout de la prendre dans nos bras et de la consoler ! S’en remettra-t-elle?


C’est vraiment de l’art vivant au sens noble du terme ici.


Quand on y revient une seconde fois, j’ai eu l’impression qu’elle était entre l’oubli et le souvenir. Était-ce si récent que cette rupture ou une résurgence lointaine? De la dépression ou vivait-elle dans le passé?


Au dernier retour, elle pleurait à en rire du fait qu’« il ne m’aime pas. » Quand cette phrase entre en soi, il n’y a aucune sortie possible, dit-elle. C’est que tristesse et joie sont aussi un point de bascule. Et, pauvre elle, elle semble avoir basculé. Je lui souhaite de s’en sortir.


1. La chambre


Son avatar érotique est plus grand qu’elle. Une « wanna be », une pas de vie, qui veut être ! Mais, plus elle avance dans son monologue, plus on comprend son désespoir. Il vient du deuil difficile de son ex, car en plus de s’être quitté, il est décédé, ne lui laissant que le vide du désespoir. Alors, elle veut être à nouveau, mais n’a pas la force de sortir de sa chambre. Elle essaie donc de redevenir par les médias sociaux, mais les médias sociaux, ce n’est pas la vie...



2.Un genre de boudoir dans un salon double


Des jumelles non identiques sont dans un boudoir. La maison de chambre est à elles, héritage d’une tante qui y tenaient un bordel. Elles discutent en se préparant à faire un striptease, car c’est ainsi qu’elles réussissent à maintenir cette maison de chambre. Actrices au tournant de l’âge, les rôles sont moins fréquents.


Au cours de leur conversation, on découvre que l’effeuillage, ce peut être bien davantage que de se déshabiller. Se mettre à nu, c’est aussi d’étaler sa vie devant le public. Bref, de vendre son histoire de vie comme un simple produit de consommation.


Cette discussion entre les deux sœurs devient de plus en plus intéressante à mesure qu’elle avance, car on s’aperçoit après un certain temps que l’on est ici dans la trahison. Même une double trahison, car il y a un jeu de manipulation qui nous sera dévoilée entre les deux sœurs. Actrices sans rôle, elles jouent entre elles une véritable tragédie grecque avant d’aller faire leur striptease, comme pour se donner un « boost » d’adrénaline.


En conclusion, le liant


Ces résidentes de la Maison de la rue Fullum cherchent toutes à se sortir de leur détresse. Mais, sans aide, sans intervenants, ce n’est pas facile. Et, on vit une pénurie d’intervenants dans le moment en même temps qu’on est dans une pandémie de détresse psychosociale. Si ces cinq femmes sont à l’abri, elles devront s’entraider pour s’en sortir ensemble. Par contre, si elles ont chacune leurs problèmes, elles ont aussi des forces qui, mises ensemble, peuvent les aider à s’en sortir. Il y aurait là un espace pour une suite. Les revoir dans deux ou trois ans, ensemble dans un espace commun, comme une salle à manger, nous raconter comment elles se sont entraidées. Moi, j’y vois une suite, car c’est du théâtre social. Ça ne peut s’arrêter là.


Cela fait aussi prendre conscience aux spectateurs qu’on passe tous à côté de possibilités de détresse dans la vie. Si, par malchance, par une mauvaise décision, on s’enfarge dedans, il y a un manque de ressources pour nous aider. On risque donc de plonger dans une certaine détresse comme ces résidentes de la Maison de la rue Fullum. Qui nous aidera alors? Car, on est à peu près tous aveugle devant la détresse des autres de peur que ça ne soit contagieux. En fait, notre système de protection psychologique est probablement ainsi fait qu'il met un masque devant nos yeux pour ne pas nous affecter comme on se met un masque en période de pandémie pour ne pas être infecté.


Dans le moment présent, ici comme ailleurs, certains vivent leur vie avec une certaine insouciance alors que d’autres sont dépassés par les soucis. La solution doit être collective, soit l’investissement dans un filet social pour se protéger collectivement en cas de mauvais sort. Et, tant mieux si on n’en a pas de besoin, mais ce n’est pas une raison de croire qu’on a payé pour rien. Au contraire, cette assurance aura aidé certains de nos semblables comme elle nous aurait aidés si nous en avions eu besoin. C’est le propre de la mutualisation des risques : on s’assure contre un risque qui ne nous arrivera peut-être jamais, mais cette prime d’assurance aidera ceux à qui il arrivera. Pourtant simple à comprendre. Dites-vous que la différence entre le néolibéralisme et la social-démocratie, c’est exactement la même chose. Dans un cas l’individu veut tous les gains pour lui et dans l’autre il paie une prime (impôt) qui lui assure un certain filet social en cas de pépins. Il ne lui en arrivera peut-être jamais, mais il sera là pour ceux à qui cela arrivera.


Notes


1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jorge_Rafael_Videla


2. Davantage d’explications de ma part pour ceux que ça intéresse.


Dans les documents reçus autour de cette pièce, on parle de théâtre ouvert. Je cite :


« Au milieu des années 1970, pendant le régime dictatorial de Videla, le théâtre sert d’exutoire et dénonce les abus du régime politique. Progressivement exclus des salles officielles de théâtre, certains acteurs et auteurs de pièces de théâtre s’organisent pour continuer à présenter leurs œuvres dans des salles cachées. Ils dénoncent au travers de leurs pièces les dérives d’un pouvoir tyrannique et soulignent l’importance de la représentation théâtrale comme outil de mémoire. Ainsi furent fondées les bases du Teatro abierto, le théâtre ouvert développant un humour corrosif et critique. » (Argentina Excepciòn / De la dictature à la démocratie : une nouvelle ère pour le théâtre en Argentine : https://www.argentina-excepcion.com/guide-voyage/culture-argentine/theatre-argentin)


J’ai effectivement cherché Teatro abierto dans le Reverso espagnol-francais (voir dans les hyperliens) et il me donne le théâtre ouvert, mais dans les sens d’ouvert sur l’extérieur. On pourrait ainsi penser à l’Amphithéâtre Fernand-Lindsay ou au Théâtre de Verdure par exemple pour ici.


Par contre, quand je mets abierto dans le reveso il me donne aussi le sens de libre, ce qui m’apparait plus juste vu que ce type de théâtre est apparu au milieu des années 1970, pendant la dictature de Jorge Rafael Videla, pour justement revendiquer et créer des espaces de libertés. J’ai donc choisi de traduire Teatro abierto par théâtre libre. Un choix éditorial que j’assume.













3. Isabelle Hachey, Mx Martine : ce qui devrait nous faire peur, La Presse, 2 septembre 2023 :

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2023-09-02/mx-martine-ce-qui-devrait-nous-faire-peur.php


4. Pour moi, la revendication de toutes les libertés comme si c’était possible, que ce soit à droite ou à gauche, s’appelle dorénavant « libarté », car il s’agit d’une utopie idéologique à distinguer de la liberté. Il faut d’ailleurs voir que la liberté véritable ne peut être absolue. Par exemple, on n’a pas la liberté de tuer son voisin. La liberté est une valeur qui s’inscrit parmi d’autres, dont les responsabilités. En plus, ces groupes idéologiques qui réclament la « libarté » quand une loi ne fait pas leur affaire sont aussi les premiers à vouloir la restreindre pour répondre à leur agenda idéologique. La « libarté » est donc une liberté contrainte non pas à des impératifs de droit, de justice ou de science, mais bien idéologique.


5. Je dis des extrêmes, car s’il y en a une à droite, il y en a aussi une à gauche. Et, elles ont toutes deux déjà manifesté contre du théâtre.


6. Genevievre Nootens, Moralité fondamentale et normes subjectives : la justification d’un cadre moral commun dans une société libérale, in Luc Vigneault et Bjarne Melkevik (sous la direction de), 2006, Droits démocratiques et identités, PUL : Administration et droit, Collection Dikè, 160 pages, p. 34 pour cette citation.


7. « Cioran, dont les écrits sont très sombres, fut d'ordinaire un homme plutôt gai et de très bonne compagnie » nous apprend Wikipédia. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Emil_Cioran#Pensée_de_Cioran) Et, pour ceux qui se le demandent, c’est vraiment mon lapin, Diderot, que j’ai photographié avec l’intégrale de Cioran, 1995, Oeuvres, France : Quarto Gallimard.


8. Après de nombreuses recherches, je l’ai retracé sur internet. C’était un film d’Alex de Renzy, réalisateur et producteur de films pornographiques, réalisé en 1970. Wikipédia nous dit que « A History of the Blue Movie (intitulé Anthologie du plaisir en français), [est un] montage de séquences de films et de dessins animés pornographiques de différentes époques. » Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alex_de_Renzy


Autre lien : https://en.wikipedia.org/wiki/A_History_of_the_Blue_Movie


9. https://bib.umontreal.ca/collections/speciales/litterature-francaise/collection-gilles-blain


10. https://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_Breillat


Quelques hyperliens


https://fr.wikipedia.org/wiki/Argentine


https://www.argentina-excepcion.com/guide-voyage/histoire-argentine/xxe-siecle


https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictature_militaire_en_Argentine_(1976-1983)


Benoît Hennaut, Le théâtre argentin indépendant de la post-dictature :

https://books.openedition.org/cvz/8681?lang=fr


Marta Mariasole Raimondi, Le théâtre, un espace de résistance dans l’Argentine de l’après-dictature :

https://books.openedition.org/pur/100991?lang=fr


Reverso espagnol-francais : https://dictionnaire.reverso.net/espagnol-francais/


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